Face à l'inertie des pouvoirs publics algériens, une mobilisation internationale naît en solidarité avec les travailleuses agressées de Hassi Messaoud. A Paris, le Collectif de Solidarité défilait pour la première fois ce 1er mai. Pour l'instant, non seulement le gouvernement algérien nie la gravité des faits, mais il va jusqu'à accuser les victimes de manipulation. Comme en 2001, les travailleuses de Hassi Messaoud continuent d'être agressées.