Les associations féminines, à commencer par la mienne, Sisters in Islam (SIS), se sont félicitées de cette mesure longuement attendue, car les femmes rencontrent de multiples problèmes dans les tribunaux islamiques, surtout s'agissant d'affaires de la famille. Dans le cadre de ses revendications pour la justice et l'égalité des musulmans, le SIS réclamait ces nominations depuis 1999 et plus.