De manière générale, l’analyse de la question féminine relève tout autant du domaine privé que du domaine public, au sein duquel quiconque, individu ou groupe, s’inscrit en tant qu’« autrui ». Il s’agit donc là d’une question d’intérêt général sujette à l’opinion publique et dans le cadre de laquelle les relations humaines sont prescrites par une forme d’autorité publique, principalement l’État.