« Je ne peux pas consulter un gynécologue, car j'aurai des problèmes avec mon mari », dit Aicha. Comme elle, beaucoup de femmes musulmanes n'ont pas la permission de se faire soigner par un homme, c'est défendu. Dans un pays qui ne compte que trois gynécologues de sexe féminin, l'accès aux spécialistes, pour les musulmanes, est restreint.