Gambie: Deux membres du Réseau international de solidarité Femmes sous lois musulmanes (WLUML) militantes contre les mutilations génitales féminines, ont été arrêtées, en Gambie
Les autorités de la Gambie ont commencé à agir contre les militants des droits des femmes qui travaillent pour la cessation des mutilations génitales féminines. Le directeur exécutif du Comité Gambie contre les pratiques traditionnelles (GAMCOTRAP) Dr. Isatou Touray, et son adjointe Amie Bojang Sissoho ont été arrêtés lundi par la police pour des raisons inexpliquées, le journal La liberté ne peut rapport. Le Dr. Touray et Madame Sissoho sont actuellement détenus au quartier général de la police dans la capitale Banjul.
Avant la fermeture des bureaux le lundi, les nouvelles atteint la communauté de presse ici que les détenus devaient être escortés par la police au tribunal régional de Kanifing, mais pour se faire dire que l'affaire serait entendue mardi. M. Touray et Mme Sissoho on s'attend à nouveau devant le tribunal mardi pour prendre plaidoyer.
Selon certaines sources, les détenus auraient été accusés de vol, mais pas davantage sur la substance principale de l'affaire. Mais avant leur arrestation, le Dr Touray, qui est connu comme un éminent militant anti MGF a dit qu'elle était poursuivie par l'Etat avec les gens de son rapport au Président. Elle a dit que certaines personnes étaient «hors de la faire" avec de fausses accusations, mais pas de détails sur la nature de ladite accusations. Elle a dit aux délégués à un récent atelier qu'elle était au courant de ce régime qui a éclos pour obtenir son arrestation.
M. Touray, et ses collègues militants contre les MGF ont enregistré un succès considérable dans le domaine de l'éducation MGF en Gambie. Beaucoup exciseuses locales ont posé leurs outils grâce à la campagne d'éducation de base GAMCOTRAP contre la pratique culturelle mortelle.
GAMCOTRAP efforts visant à décourager les mutilations génitales féminines en Gambie a été accueillie avec une forte opposition de certains dirigeants religieux, qui plaident ouvertement pour la circoncision féminine. L'un d'eux est le très controversé State House Imam Alhagie Abdoulie Fatty, qui a dit à Radio Liberté dans une récente interview que la MGF n'est pas pratiquée en Gambie peint par les militants locaux. Imam gras accuse les militants de la MGF faire exploser des choses hors de proportion. Il a dit que l'islam soutient l'excision.
"Il n'ya rien de mal à circoncire nos enfants. Islam appuie excision. Ne vous occupez pas des militants que l'on appelle les MGF. Ils se répandent de fausses informations sur l'excision. Il est une pratique culturelle reconnue par l'islam", a dit l'imam gras.
Une enquête menée par GAMCOTRAP, environ 80 pour cent de la population gambienne pratique des MGF, mais ce chiffre avait une baisse significative grâce à une campagne de sensibilisation d'éducation dirigée par l'Organisation. Ces s'engager dans la pratique religieuse citer, et des raisons culturelles à l'appui de la MGF. Mais les militants anti MGF en désaccord. Ils ont dit la pratique met en danger la vie de la fillette. Par exemple, ils ont fait valoir que des dizaines de jeunes filles sont excisées avec une lame, et que dans la plupart des cas, la lame n'est jamais stérile. Ce fait dans une certaine mesure les filles excisées vulnérables aux maladies sexuellement transmissibles connu sous le nom (IST), y compris le VIH / sida, le virus qui cause le sida.
Selon les militants anti MGF, certains des enfants circoncis est décédé au cours du processus. Ils ont dit MGF viole le droit de la fillette. Ils ont également exprimé l'avis que cette pratique est contraire sentiments sexuels des femmes.
Jusqu'au moment de mettre sous presse le Dr Isatou Touray, et Amie Bojang Sissoho étaient toujours en détention au quartier-général de police à Banjul. Ils doivent comparaître en cour le mardi à Kanifing. Ils n'ont pas été accordée au droit à la liberté sous caution.
Par: Bakary Gibba & Pa Nderry M'Bai