Maroc: Une initiative importante
Des contacts et des amis de Women's Learning Partnership (WLP) dans le Moyen-Orient et en Afrique du Nord nous ont fait connaître une initiative importante au Maroc pour améliorer la condition de la femme moroccaine.
Actuellement, l'initiative a été suspendue à cause de la pression des groupes extrémistes. WLP voudrait donner l'encouragement pour sa réalisation, et nous espérons que vous nous donnerez votre appui.
Il y a des efforts continus au Maroc afin d'améliorer le statut de la Moroccaine par des réformes législatives d'une grande portée. Veuillez joindre l'Association des Femmes pour la Connaissance des Droits, du Développement, de la Paix (WLP) en écrivant au Premier ministre Abderrahmane Youssoufi pour donner de l'appui au " Plan d'action National pour l'intégration de la Femme au Development " (PANDIF).
Malheureusement, l'opposition à PANDIF existe en raison des réformes spécifiques traitant la Moudawana, le Code du Statut Personel du Maroc qui inclut les codes de famille gouvernant le statut de la femme moroccaine.
En particulier, il y a de l'opposition aux réformes qui cherchent à augmenter l'âge minimum pour le mariage de 15 à 18 et à substituer entièrement la pratique du reniement-- par lequel une épouse divorcée n'a aucun recours-- avec des divorces de cour.
Actuellement un mari peut divorcer son épouse sans justification, la privant de tous droits concernant leur propriété. En plus, la réforme proposée fera le mariage polygamous sujet à la permission de la prémière épouse, donnée librement devant un juge. Elle accorde également à une femme la droite d'obtenir au bureau d'enregistrement une copie de son certificat de mariage, lui permettant de maintenir la garde de ses enfants en cas de la séparation ou du divorce.
En outre, elle établit le droit d'une femme de choisir librement un époux sans l'approbation de quiconque, et le droit d'une mère célibataire de donner à ses enfants quelconque nom de famille qu'elle choisit et le droit d'indiquer le père en tant que " inconnu " quand elle registre la naissance d'un enfant illégitime.
Le processus de mettre en loi l'initiative est suspendu tandis qu'une Commission consultative établie en avril 2001 par le Roi Mohammed VI étudie s'il existe le besoin de modifier la Moudawana. Pour se joindre à soutenir la réforme proposée par le gouvernement marocain et en les encourageant à mettre en application PANDIF pour améliorer le statut de la femme moroccaine, s'il vous plaît de nous DONNER vos coordonnées et nous vous ajouterons à la liste de signataires.
Il y a des efforts continus au Maroc afin d'améliorer le statut de la Moroccaine par des réformes législatives d'une grande portée. Veuillez joindre l'Association des Femmes pour la Connaissance des Droits, du Développement, de la Paix (WLP) en écrivant au Premier ministre Abderrahmane Youssoufi pour donner de l'appui au " Plan d'action National pour l'intégration de la Femme au Development " (PANDIF).
Malheureusement, l'opposition à PANDIF existe en raison des réformes spécifiques traitant la Moudawana, le Code du Statut Personel du Maroc qui inclut les codes de famille gouvernant le statut de la femme moroccaine.
En particulier, il y a de l'opposition aux réformes qui cherchent à augmenter l'âge minimum pour le mariage de 15 à 18 et à substituer entièrement la pratique du reniement-- par lequel une épouse divorcée n'a aucun recours-- avec des divorces de cour.
Actuellement un mari peut divorcer son épouse sans justification, la privant de tous droits concernant leur propriété. En plus, la réforme proposée fera le mariage polygamous sujet à la permission de la prémière épouse, donnée librement devant un juge. Elle accorde également à une femme la droite d'obtenir au bureau d'enregistrement une copie de son certificat de mariage, lui permettant de maintenir la garde de ses enfants en cas de la séparation ou du divorce.
En outre, elle établit le droit d'une femme de choisir librement un époux sans l'approbation de quiconque, et le droit d'une mère célibataire de donner à ses enfants quelconque nom de famille qu'elle choisit et le droit d'indiquer le père en tant que " inconnu " quand elle registre la naissance d'un enfant illégitime.
Le processus de mettre en loi l'initiative est suspendu tandis qu'une Commission consultative établie en avril 2001 par le Roi Mohammed VI étudie s'il existe le besoin de modifier la Moudawana. Pour se joindre à soutenir la réforme proposée par le gouvernement marocain et en les encourageant à mettre en application PANDIF pour améliorer le statut de la femme moroccaine, s'il vous plaît de nous DONNER vos coordonnées et nous vous ajouterons à la liste de signataires.
Source:
Women's Learning Partnership (WLP)
Created by:
Women's Learning Partnership (WLP)