Sudan

Government-backed Arab militias are systematically raping and killing in Darfur region, says the UN.
Aucun de ces points de vue n’est historiquement correct. Les femmes mènent des campagnes très enthousiastes pour défendre leurs droits et leur liberté. En outre, les luttes des femmes dans le Tiers-Monde, y compris celles du mouvement des femmes au Soudan, ont débuté avec le mouvement national et la lutte pour l’indépendance, phénomène commun à toutes les anciennes colonies. A travers l’histoire, les femmes soudanaises ont résisté à l’oppression.
La situation de l’éducation varie d’une société à l’autre selon les systèmes politiques, économiques, sociaux et culturels et les relations qui existent dans cette société. Le présent article donne un aperçu de la situation de l’éducation au Soudan. Le Soudan est un des pays sous-développés influencés par la culture arabo-islamique, spécialement dans les régions du Nord.
Certains détails indiquent que le gouvernement militaire du Général de corps d’armée qui a pris le pouvoir suite au coup d’Etat du 30 juin, s’est engagé dans une politique visant à saper le statut des femmes au Soudan, sous la bannière des exigences présumées convenances islamiques. Africa Watch est préoccupé par les politiques en train d’être mises en place qui visent à exclure les femmes du service public, à restreindre leur accès à l’enseignement supérieur et aux professions juridiques, et à limiter leur liberté de voyager.
The International Law and Instruments

Freedom of religion and belief is clearly stated in all the three well recognised international human rights instruments: the Universal Declaration of Human Rights (1948), the International Covenant on Civil and Political Rights (ICCPR) (1966) and the International Covenant of Economic, Social and Cultural Rights (1966).
The beginnings of the al-Ikhwan al-Muslimun (henceforth, Ikhwan) movement in Sudan may be traced back to the mid-1940s.
Introduction

This research is an examination of the relationship of the Sudanese state to issues of gender, religion and class.[1] It is one component of my interest in the mechanisms the state employs for achieving both political and cultural hegemony.
On January the 18th 1985, Ustadh Mahmoud Mohamed Taha was executed in Kober Prison in Khartoum Sudan after a short trial on the previous day. His trial reflected the collapse of the rule of law after the promulgation of the September 1983 Laws, the declaration of emergency and the "Prompt Justice Courts" of 1984. Ustadh Taha's trial was a classic example of an unfair trial.

Ustadh Mahmoud Mohamed Taha was born in a sufist family, in the town of Rufaa (160 miles south of Khartoum) in 1909. His mother died when he was one year old and his father died when he was ten.
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