France: Non a l'excision

Source: 
Les Penelopes
Sérénade a besoin de l'appui des femmes françaises.
Octobre 1998, informée des risques d'excision encourus par sa fille Laïla, Sérénade Chafik, française, mais née en Egypte, a saisi la justice française pour préserver sa fille de cette mutilation sexuelle (coutume pratiquée en Egypte sur 90% des femmes). Sous la pression de la diplomatie égyptienne, le Tribunal des Affaires Familiales lui déboute en s'appuyant sur le Code de la Famille égyptien, qui ne reconnaît aucun droit aux femmes. Elle décide alors de mener une lutte pour faire valoir ses droits et préserver l'intégrité physique de sa fille.